Ce rapport présente les résultats d'une étude qualitative menée par des pairs sur la réutilisation du matériel d'injection en Australie. Elle a été réalisée par la Ligue australienne des consommateurs de drogues injectables et illicites (AIVL), qui a mené l'étude entre 2013 et 2015.
L’impulsion de cette recherche est venue d’une frustration croissante ressentie par les organisations d’usagers de drogues (DUO) et d’autres par rapport aux taux constamment élevés de réutilisation du matériel d’injection signalés en Australie ces dernières années.
La réutilisation du matériel d’injection est préoccupante car elle peut augmenter le risque de transmission et d’acquisition de virus transmissibles par le sang (VTS) tels que l’hépatite C et le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Elle peut également contribuer aux infections bactériennes et à la mauvaise santé des veines chez les personnes qui s’injectent des drogues (PID).
Télécharger le rapport
Télécharger